Hier matin, en plein travail à mon bureau, j'entendis la sonnerie de mon téléphone. Au bout du fil, Bernard, qui d'une voix un peu chevrotante, que je perçus comme très excitée, me demanda :
-Tu fais quoi ce soir ?
-Moi, rien!
-As-tu envie que je vienne te voir ?
Sur ma réponse positive, celui-ci raccrocha, non sans m'avoir susurré quelques mots doux et coquins très prometteurs pour la soirée à venir.
Tout le reste de la journée fut plutôt consacré à fixer la pendule, et à réfléchir sur la tenue que j'allais passer le soir pour recevoir mon amant, que de me concentrer sur mon labeur.
L'heure de la sortie arrivée, je m'engouffrais dans le métro ; puis arrivé tout en sueur à la maison, je pris une douche rapide et pour terminer ma toilette, me lavais le fondement avec grande ardeur et application.
Puis je me maquillais avec minutie, mis ma perruque courte, rousse ; m'ornais de boucles d'oreilles, bagues, collier et bracelet et finis mon "pimpelochement" par un peu de parfum. Je me dirigeais enfin, le sexe tout tendu, vers mon armoire. J'y choisis une guêpière, un joli slip avec de larges dentelles, et des bas à coutures ; le tout dans les tons noirs. Je pris ensuite un joli petit jupon blanc, court, à large bordure en dentelle dans le bas. Je mis ensuite un caraco avec empiècement de dentelle rouge, et une jupe plissée courte noire. Je choisis pour terminer, une paire de souliers à talons moyens noirs également.
Je me mis pour finir devant ma glace pour vérifier le résultat de mon travail de transformation. Sur l'impression plutôt positive à mes yeux de cette petite visite, il ne me restait plus qu'à attendre haletante l'arrivée de mon amant devant un bon café.
Vers les 21h00, la sonnerie de l'interphone se fit enfin entendre. Je me précipitais sur celui-ci, appuyais sur le déclencheur d'ouverture de la porte d'entrée, me jetais une nouvelle fois dans la salle de bain pour me repasser un peu de rouge à lèvres et vérifier ma perruque, puis au bruit de la sonnette de ma porte d'entrée, j'ouvris celle-ci à Bernard, qui, à peine rentré se serra violemment contre mon corps.
Tout en engouffrant sa langue avec ardeur dans ma bouche, il me pelotait les fesses et le sexe à travers ma jupe avec dextérité. Puis soulevant celle-ci, il entra sa main dans ma culotte, me caressa la bite qui bandait effrontément, puis glissa entre mes fesses, me titilla mon petit trou et y enfonça deux doigts qu'il faisait aller et venir lentement. Le désir nous envahissant tous les deux, je le conduisis rapidement vers mon lit, ou nous nous jetions étroitements enlassés.
Me faisant mettre à genoux sur le lit, il retroussa ma jupette plissée, baissa ma petite culotte, et commença à me donner des petites tapes sur les fesses. Les petits cris du plaisir qu'il me donnait, le firent s'enhardir et il me fessa de plus en plus fort, en me jetant tout plein de petits mots cochons que j'écoutais avec délectation en remuant mon petit cul tout rougi de bonheur.
Il m'allongea sur le dos, se mit sur moi me prit mon sexe tout tendu de désir dans ses mains et me le branla furieusement. Peu après, il avança le visage sur mon ventre et plongea mon dard dans sa bouche. Je voyais avec un grand bonheur ma queue disparaissant et réapparaissant à moitié, aspirée, serrée qu'elle était entre ses lèvres et sa langue ; il la mangeait avec délectation.
Puis il se mit en position de "69", lui sur moi, et tout en me suçant m'engouffra à son tour son sexe dans la bouche, belle friandise que je dévorais avec gourmandise, en lui malaxant les couilles avec mes mains. Cela dura longuement, intensément, nos deux corps envahis par une violente passion sexuelle.
Se redressant, il me demanda de me mettre en levrette. Pendant qu'il passait un préservatif, j'enduisais de gel lubrifiant mon petit trou, et je me cambrais le plus en arrière possible dans l'attente de recevoir en moi sa grosse bite de mâle excité.
Il la fit entrer doucement entre mes fesses, puis commença son mouvement de va et vient, lent d'abord mais à mesure que mon petit trou se dilatait sous les assauts de sa queue, il m'astiqua l'anus de plus en plus rapidement et profondément.
Enfin, il me demanda de me mettre dans la position du "missionnaire", et écartant délicatement mes cuisses, il replongea son gros braquemard de nouveau entre mes fesses écartées en m'enlassant, me caressant les cuisses et m'embrassant avec fureur.
Je lui labourais le dos avec mes mains tournant la tête de droite à gauche en râlant et en gémissant de plaisir. Soudain, il se tendit de tout son corps, frissonnant, me regardant les yeux hagards, avec un profond rictus sur son visage. Et, dans un long gémissement de jouissance, m'offrit sa semance.
Son corps effondré sur le mien, resta ainsi un long instant, puis il se blottit tout contre moi, me caressa, et s'endormit....
Si ma petite histoire (vraie) vous à plue, ou déplue, dites le moi en me laissant un petit commentaire....
Bisous.
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Sujet: CHAUDE SOIREE... 
Ne sois pas faché, je plaisante! Amicalement.